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Projet ZACA

Un repère de bandits et de dealers

Les dealers de drogues et autres petits bandits ont repris leur droit sur les zones inhabitées du projet ZACA. Depuis que les patrouilles de police se font rare, les « vendeurs de la mort » et autres  petits agresseurs reprennent du poil de la bête. Si rien n'est fait pour déloger ces malfrats en ses lieux, ne nous étonnons pas si le pire arrive.

Les zones vides du projet ZACA sont devenues après les dépôts d'ordures, un  repère de voleurs et de dealers de drogue. Au vu et au su des habitants des quartiers voisins qui assistent impuissants. Et pour cause s'ils ont pu les chasser du quartier  (secteur 1) aujourd'hui il devient difficile de les déloger de leur nouveau repère qui est une propriété de l'État. La drogue se vend a ciel ouvert. Il suffit de faire un tour du coté de l'immeuble SOMIMA où sous les arbres situer derrière la maison TV5, vous verrez les dealers assis entrain de vaquer à leur basse besogne. Du matin au soir ils se retrouvent à 5, 10, ou voir plus pour écouler leurs marchandises de la mort. Comme acheteurs vous rencontrer du tous. De la superbe bagnole au piéton, ils passent tous et comme des gens qui se saluent la marchandise passe d'une main à l'autre, l'argent aussi. Une chose est sûre si l'on ne vous dit pas ce qui s'y  passe, ça ne vous viendra jamais à l'idée de penser que ces jeunes qui sont assis sont des marchants de la mort et de la dépendance. Une ou deux fois, les hommes de Djibril BASSOLET sont intervenus, course poursuite tirs de sommation et même des arrestations ont eu lieu. Puis, plus rien. Les dealers ont repris le dessus et font la pluie et le beau temps sur les zones inhabitées du projet ZACA. Si ce n'est pas les dealers de drogue qui narguent les habitants et les forces de sécurité ce sont les piques poquets qui écument les passants. Pour tous dire ce n'est pas prudent d'emprunter les artères du projet ZACA sans craindre de se faire arracher son  sac, surtout les dames. Une fois de plus, les services de sécurité sont interpellés pour rétablir l'ordre et la sécurité.

                                                               FREDERIC ILBOUDO