Vie chère ?
Ca y’est, le concept est lancé ! Eh oui, les gars n’ont plus que ça à la bouche ! Vie chère par-ci, vie chère par-là ! Comme s’ils n’attendaient que ça. Depuis, tout flambe à n’en pas finir. C’est quand même galère quoi ! Mais que voulez-vous ? Faudrait savoir à qui la faute ? Ce qui est sûr, y’en a qui n’ont pas hésité un instant à s’acharner sur le pouvoir. Comme si le riz qu’on baffre à longueur de journée venait entièrement des champs du Blaiso. Comme si le fuel qu’on brûle vient des puits de Ziniaré.
Ecoutez les gars, faut pas se laisser distraire. Le problème est plus corsé qu’il n’y parait. Ce qu’on voit là, c’est que le début du commencement de la chose. C’est moi qui vous le dits, çà va barder ; et bien même. Tant qu’on se mettra pas au sérieux pour tous ensemble envisager de prendre des mesures pour la contrecarrer, la vie chère, elle va nous bouffer tous. Un à un s’il le faut, mais personne ne s’en sortira.
Tenez par exemple, si en cette rentrée de saison pluvieuse, chacun se taillait un petit lopin dans son patelin pour essayer d’en tirer quelques sacs de mil ou de maïs, on avancerait un peu dans l’autosuffisance alimentaire. On me dira que c’est trop tard. Mais alors que nos chers citadins donnent un coup de main aux parents au village avec de quoi acheter des intrants ou des semences améliorées. Mais non ! Ils vont tous rester là à tchacher sur tout et rien à la fois, guettant chaque nuage annonciateur de pluies pour se vautrer dans des couvertures qu’ils ne pourront plus payer demain parce que le riz et le maïs auront eu raison de leurs maigres salaires. Les gars, ouvrons l’œil et le bon pendant qu’il est temps.
Hélas on dirait qu’on s’enfout ! Quand je pense qu’en plus il s’en trouve toujours des coyotes pour soutenir mordicus que la Brakina va maintenir le statut quo sur ses prix, je ris jaune. Ils vont bientôt déchanter. Et nous avec. Le poulet flambé au rabilé, le poisson braisé, dans pas longtemps, ce sera que rêve. Foi de Charlot
Vive la République !
Ecoutez les gars, faut pas se laisser distraire. Le problème est plus corsé qu’il n’y parait. Ce qu’on voit là, c’est que le début du commencement de la chose. C’est moi qui vous le dits, çà va barder ; et bien même. Tant qu’on se mettra pas au sérieux pour tous ensemble envisager de prendre des mesures pour la contrecarrer, la vie chère, elle va nous bouffer tous. Un à un s’il le faut, mais personne ne s’en sortira.
Tenez par exemple, si en cette rentrée de saison pluvieuse, chacun se taillait un petit lopin dans son patelin pour essayer d’en tirer quelques sacs de mil ou de maïs, on avancerait un peu dans l’autosuffisance alimentaire. On me dira que c’est trop tard. Mais alors que nos chers citadins donnent un coup de main aux parents au village avec de quoi acheter des intrants ou des semences améliorées. Mais non ! Ils vont tous rester là à tchacher sur tout et rien à la fois, guettant chaque nuage annonciateur de pluies pour se vautrer dans des couvertures qu’ils ne pourront plus payer demain parce que le riz et le maïs auront eu raison de leurs maigres salaires. Les gars, ouvrons l’œil et le bon pendant qu’il est temps.
Hélas on dirait qu’on s’enfout ! Quand je pense qu’en plus il s’en trouve toujours des coyotes pour soutenir mordicus que la Brakina va maintenir le statut quo sur ses prix, je ris jaune. Ils vont bientôt déchanter. Et nous avec. Le poulet flambé au rabilé, le poisson braisé, dans pas longtemps, ce sera que rêve. Foi de Charlot
Vive la République !
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